10 artistes et écrivains du territoire partagent avec vous |
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Maxime
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Élise
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Maxime Charland est né le 28 octobre 1981 à Nicolet. Petit-fils de l’artiste Jean-Paul Charland, il a passé une grande partie de son enfance aux côtés de son grand-père, ce qui lui a permis de développer son goût pour l’art et la création. Vers l’adolescence, Maxime découvre l’art de la rue, le graffiti. Cette forme d’art lui permet de s’exprimer d’une façon plus libre à l’aide de différentes formes et couleurs, sans véritable contrainte ou règle. Le graffiti rejoint sa personnalité calme et sa nature solitaire. Maxime accorde beaucoup d’importance au mouvement et à l’énergie de ses œuvres. Il s’inspire de l’environnement dans lequel il crée, de l’architecture et de la surface choisie afin de donner vie à ses œuvres. Il a réalisé jusqu’à maintenant plusieurs murales, poussé par sa grande passion et son désir de créer. Maxime se considère comme un explorateur. Autant dans son art que dans la vie, il n’a pas peur de sortir des sentiers battus. Instagram : @m4ks.c |
Auteure-compositrice et interprète québécoise autant qu’abénakise, Élise Boucher-DeGonzague a enregistré plusieurs albums dont le dernier s’intitule N’TOKI (Je me réveille). Conçu pour faire connaître des berceuses de diverses nations autochtones du Québec, son conte musical évoque la naissance de l’Univers selon l’Esprit w8banaki ainsi qu’une tranche de vie d’autrefois imaginée sur une terre ancestrale abénakise. Artiste du milieu de la chanson depuis plus de trente ans, Élise a développé un sens prononcé de la communication grâce à ses nombreuses rencontres avec divers publics en tournée québécoise, au Canada français, ainsi qu’en Suisse, en Europe francophone, en Afrique et au Moyen-Orient. De retour au pays après avoir vécu une quinzaine d’années en France, Élise est heureuse de s’imprégner davantage de sa culture abénakise, de la faire connaître par son art et de vivre dans cette région que ses ancêtres ont foulée avec tant de gratitude. | ||